20/49 - Je suis mon corps ou je me bats contre mon corps - Laurent Marchand

20/49 – Je suis mon corps ou je me bats contre mon corps

Salut à tous ! c’est Laurent Marchand, bienvenus dans la 20ème vidéo d’éveil, donc le 20ème vidéo sur 49 vidéos, voilà.

On continue de travailler sur notre petit cheminement, les petites transformations qu’on peut avoir dans le mental qui évidemment vont impliquer des transformations dans notre vie, c’est quand même l’idée. Donc aujourd’hui on continue de travailler sur la santé si vous prenez cette diffusion en cours, là aujourd’hui ou depuis quelques jours, vous savez que vous pouvez remonter le fil des vidéos en cliquant sur le bouton juste en dessous de cette vidéo, donc voir la vidéo précédente et ensuite voir la vidéo précédente et ainsi de suite, rattraper toutes les vidéos que n’avez pas vues, et si vous voulez voir la suite et bien surveiller votre boîte mail, puisque tous les matins, on vous envoie un petit lien. Vous cliquez sur le lien et vous allez arriver sur la vidéo du jour et c’est ok comme ça. Donc aujourd’hui, pour ce qui est la vidéo du jour, on va parler de : « je suis mon corps ou je me bats contre mon corps ». Ok, on en parle juste après le petit jingle.

Je suis mon corps ou je me bats contre mon corps ?

En fait, je pense que c’est une question fondamentale. Depuis le début de cette session sur la santé, je ne fais que répéter la même chose, à travers des thématiques différentes. Pourquoi ? parce qu’il y a une chose fondamentale que les gens oublient, c’est de prendre la responsabilité de qui ils sont. C’est vrai que quand on n’est pas bien, quand on est malade, quand on est en surpoids, quand on a vraiment des problèmes récurrents de santé, c’est difficile d’accepter l’idée que nous soyons le créateur de ça.

Déjà parce que ça voudrait dire qu’on ne s’aime pas. Enfin ça implique beaucoup de choses qui sont assez négatives sur l’image qu’on pourra avoir de nous-même et donc forcément ce n’est pas très agréable de se dire encore : « il va encore m’emmerder avec la responsabilité sur mon état de santé. », « moi j’y peux rien », « j’ai attrapé un virus », « c’est un truc que ma famille a toujours eu, ma mère elle a eu ça, ma grand-mère elle a eu ça donc c’est normal que je l’aie ». Évidemment, il y a ces cas de figure. Donc je sais que c’est difficile à entendre. Et pourtant, il y a des petites responsabilités qu’on peut prendre au quotidien et quand on prend ces petites responsabilités, ça ne veut pas dire transformer tout. Ca veut dire, comme je disais dans une des vidéos précédentes, juste honorer la vie en soi. Honorer la vie en soi permet juste de considérer les choses différemment.

Les informations qu’on reçoit, ce qu’on reçoit dans notre assiette, … En fait, on va juste considérer les choses différemment et c’est en considérant les choses différemment qu’on va reprendre la responsabilité intégrale de notre propre santé. Je sais que la santé c’est (vraiment) toujours un sujet extrêmement délicat, mais pourtant il y a des choses qui sont d’une logique juste tellement pertinente qu’on ne peut pas revenir à ça. Et la responsabilité de notre propre état de santé fait partie de la logique pertinente.

Moi j’étais très malade, j’ai eu même une méningite, j’ai failli mourir 6 fois, j’ai eu un arrêt cardiaque, il serait totalement absurde que je me retire la responsabilité de tout ça. Je peux accuser la situation, les gens qui étaient autour de moi, l’époque où j’ai fait mon arrêt cardiaque. Je peux accuser absolument tout. N’empêche qu’il y a quand même un moment où le cœur qui s’est arrêté, c’est quand même le mien. Donc, je dois prendre la responsabilité de ma propre santé. En tout cas de la perception que j’ai de ma propre santé.

Je suis (on l’a dit dans une vidéo précédente) le mental, l’énergie, et le corps tous réunis. Je dois faire équipe, enfin en tout cas mon mental, mon énergie et mon corps doivent faire équipe ensemble. C’est-à-dire je dois faire équipe avec moi-même et c’est ça je dois faire équipe avec moi-même, en comprenant que mon mental va avoir une implication sur mon énergie et mon corps. Mon énergie va avoir une implication sur mon mental. Et mon corps va avoir une implication sur mon mental et mon énergie donc je dois faire attention à ce que ces 3 alliés avancent véritablement main dans la main. Et c’est parce que je veux juste prendre la responsabilité de comprendre et d’intégrer ça, ce n’est forcément pas grand-chose à faire, juste comprendre et intégrer, ça va faire toute la différence.

Ça va faire la différence quand je vais manger, ça va faire la différence quand je vais faire du sport, ça va faire la différence quand ceci et quand cela. Chaque fois que je vais travailler sur mon état d’esprit, ça va faire du bien aux deux autres. Chaque fois que je vais travailler sur mon énergie, ça va faire du bien aux deux autres. Chaque fois que je vais travailler sur mon corps, ça va faire du bien aux deux autres. Lorsque je me bats contre mon corps, je considère mon corps à l’extérieur de moi, je le regarde et je le massacre. Il est trop grand, il est trop petit, il est trop ceci et trop cela. Moi je me suis massacré pendant des années, à me trouver presque même trop grand, à un moment donné je me suis dit : « je suis trop grand je fais 1m85, c’est que des emmerdes ».

Dans la vie c’est des emmerdes, dans le train c’est des emmerdes, quand il y a un imbécile qui veut taper sur quelqu’un qui est dans une fête où il y a plein de monde, il veut toujours viser le plus grand, il se trouve que c’est moi, donc voilà, ou le plus costaud. Et sinon je fais partie des plus costauds donc je suis la cible des abrutis. Voilà, à chaque fois que je me regardais, je me disais que je ne suis qu’un problème,. Après je me suis trouvé trop gros, après je me suis trouvé trop ceci trop cela, et j’ai toujours eu un problème. Et après j’ai un problème avec mes cheveux, après avec mes yeux, après j’ai un problème avec la couleur de ma peau, je ne me rase pas… ça va, stop ! Je ne peux pas tous les jours me battre contre moi, ce n’est pas possible.

Mon corps est un véhicule extraordinaire, il ressemble à ça. Bon ok ! j’aurais préféré un autre corps, j’aurais préféré avoir une autre gueule parce que je vois qu’ils sont largement plus beaux que moi, et je me dis punaise, j’aimerai bien avoir sa gueule. Donc évidemment je peux passer ma vie à faire ça mais dans quelle énergie je me mets quand je fais ça ? En tout cas, ce n’est une énergie qui va faire que mon mental, mon énergie et mon corps vont être des alliés. Ca va être une énergie qui va diviser tout, qui va diviser, resegmenter tout, et je vais encore me servir de moi comme du plus beau punching-ball au monde et quand je fais ça, cette maltraitance est beaucoup plus grave que l’on imagine.

Juste si on regarde le miroir et qu’on se dit : « putain, quelle sale gueule tu as » c’est une maltraitance beaucoup plus grave que ce que l’on imagine. Parce que simplement si c’était une autre personne qui arrivait  à la machine à café et qui dit “Oh putain, quelle sale gueule tu as » on le vivrait extrêmement mal. Parce que c’est violent, et cette violence, une fois qu’on se l’afflige à nous-même, elle a des répercussions sur toute notre vie : sur nos relations aux autres, sur nos relations avec notre conjointe et notre conjoint.

Quand on croit qu’on est trop gros, quand on croit qu’on est trop nul, quand on croit chaque phrase qui va être prononcée par quelqu’un d’autre, on va le prendre contre nous, alors que si ça se trouve, c’est totalement anodin, mais parce qu’on va être extrêmement sensible à ça et bien on va détruire les relations qu’on a avec les autres, on va détruire les relations qu’on a dans notre job, par exemple si on se trouve moche etc. On va imaginer que nos collègues se moquent de nous, on va imaginer, alors qu’en fait il ne se passe rien, rien de spécial en tout cas. Donc est-ce que je suis mon corps, (du verbe être OU du verbe suivre) ou est-ce que je me bats contre mon corps ?

On pourra penser que ce sujet c’est juste une question en l’air, mais pour moi c’est un sujet fondamental et une question fondamentale quand il s’agit de la santé. Parfois je regarde dans mon assiette et je dis « est-ce que je suis mon corps ou est-ce que je me bats contre mon corps ? ». Parfois je me regarde dans la glace, j’émets un avis, un constat je me dis « ah ! est-ce que je suis mon corps ou est-ce que je me bats contre mon corps ? » Parfois je suis en train de travailler, de faire du sport avec François « est-ce que je suis mon corps ou est-ce que je me bats contre mon corps ? » D’autres fois je suis en relation de séduction avec une autre personne et je me disais « est-ce que je suis mon corps ou est-ce que je me bats contre mon corps ? »

Il y a vraiment des gens, quand on dit « qu’est-ce que tu es jolie !» ils répondent  « Ah non, arrête-je suis trop gros, ah non arrête je suis trop moche. » Est-ce qu’elle est son corps ou est-ce qu’elle se bat contre son corps ? Donc cette question est absolument fondamentale parce que si on se la pose souvent, on va se rendre compte très vite qu’on ne peut plus se blairer et donc on a un petit effort à faire pour retrouver un petit peu d’amour, un petit peu de soulagement intérieur, un petit peu de gentillesse. Et quand on commence à se dire « ah tiens c’est marrant, je suis mon corps », quand on se regarde dans la glace et qu’on dit « salut toi ! » alors là on suit son corps et on ne se bat plus contre son corps, quand on se douche et qu’on arrête de dire « ah merde, j’ai un gros cul, j’ai un gros bide » et bien on est son corps et on arrête de se battre contre son corps.

Faites la paix, soyez votre corps, suivez votre corps, regardez le évoluer, regarde le vous portez dans toutes les expériences de votre vie, regardez comme il est solide, regardez comme il est fiable, et regardez comme votre véhicule (ça pourrait être votre cheval ou de votre voiture). Vous passez votre temps, nous passons notre temps, je m’exclus pas de l’autre. Nous passons notre temps à le maltraiter en disant par-ci par-là des petites phrases de sniper qui viennent piquer à l’intérieur. Je veux dire qu’on ne supporterait pas que ce soit, quelqu’un d’autre qui le fasse à côté de nous donc vraiment réfléchissez à ça et regardez comment vous agissez avec vous-même est-ce que vous êtes votre corps ou est-ce que vous vous battez contre votre corps ?

On se retrouve demain pour la 21ème vidéo qui s’appelle « L’équilibre fondamental » et à travers cette petite vidéo, on va parler d’un petit exercice qui est vraiment extrêmement important à mon sens, et qui peut vraiment faire une sorte de grande différence pour retrouver justement l’équilibre fondamental dans votre vie ok ?  D’ici là-bas soyez heureux. C’était Laurent Marchand, on se retrouve demain !

Coach, auteur et conférencier international, Laurent Marchand est le créateur du mouvement #ToutEstPossible
Il accompagne tous les individus qui font le choix conscient de de devenir acteur de la vie qu’ils désirent profondément. Il les aide à révéler leur véritable puissance et à matérialiser leurs voeux les plus chers.

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Qui est Laurent Marchand

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Coach, auteur et conférencier international, Laurent est le créateur du mouvement #ToutEstPossible. Il accompagne tous les individus qui font le choix conscient de devenir acteur de la vie qu’ils désirent profondément. Il les aide à révéler leur véritable puissance et à matérialiser leurs voeux les plus chers.

“Vous avez tous un talent à partager, un projet à créer, une ambition qui vous pousse. Mais vous n’avez pas forcément le courage de vous lancer. Dans mes articles, mes vidéos et tous mes programmes, je vais vous donner TOUS les éléments pour passer à l’action et réussir.”

Laurent Marchand

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