16/49 - Je crée le mal dont j'ai besoin - Laurent Marchand

16/49 – Je crée le mal dont j’ai besoin

Salut à tous, c’est Laurent Marchand. Bienvenus dans cette 16e vidéo. C’est une vidéo très spéciale qui dit “Je crée le mal dont j’ai besoin”. Aujourd’hui, on va parler de la santé sous un point de vue très particulier. Pour moi, c’est vraiment très délicat de faire cette vidéo et essayer de faire tenir un discours énorme en dix minutes de temps parce que je sais très bien qu’en face de cette vidéo, il y a des gens qui sont malades. Il y a des gens qui ont de grosses maladies. Et ces grosses maladies, c’est toujours difficile d’entendre quelqu’un qui nous dit “c’est toi qui l’as créé”.

Déjà, je voudrais écarter quelque chose dès le début de cette vidéo pour qu’on n’ait pas à revenir dessus. Dès qu’on parle de maladies psychosomatiques, on se confronte à une idée qui est apparue dans les années 70 et qui vient exploser le discours. Cette idée est qu’on n’est pas malade pour de vrai, mais on s’invente une maladie. C’est un discours que les gens ont eu. C’est une espèce de réflexe de masques que les gens ont eu lorsqu’ils ont entendu pour la première fois dire, par des psychanalystes, “la maladie, pour les gens qui sont malades, vient de leur état mental”.

Dans les années 70, on était dans une période où il y avait les gens normaux et les fous. Les gens qui avaient besoin de psy étaient les fous. Ces derniers déclinaient toujours l’aide d’un psy en disant “je n’ai pas besoin d’un psy, car je ne suis pas fou”. Évidemment, ils ont totalement rejeté cette idée. Cette idée a été pendant très longtemps une sorte de blocage pour réfléchir sur la métaphysique des malaises et des maladies ou comment le corps peut se sortir d’une difficulté physique, d’un dysfonctionnement physique en comprenant la raison pour laquelle ce dysfonctionnement était. Moi, je vais essayer d’avoir un discours beaucoup plus grand et beaucoup plus ouvert que celui qui dit “on n’a que ce qu’on mérite”.

L’idée n’est pas ça. La maladie existe, le symptôme existe. Ce symptôme, la plupart du temps, est créé par un dysfonctionnement énergétique. L’énergie qui circule dans le corps bloque. Ça bloque à un endroit, ça bloque sur un organe, ça bloque dans un endroit du corps (dans une épaule, dans un bras), ça bloque les muscles ou les os. Et parce que ce blocage persiste, ça crée des dysfonctionnements qui sont des dysfonctionnements physiques. Donc, depuis les symptômes, on sait qu’il y a une énergie bloquée et on sait aussi maintenant que cette énergie bloquée vient d’un doute dans le mental. La grosse difficulté aujourd’hui est de comprendre cette idée qui est pourtant extrêmement simple. Ça nous rassure de segmenter. L’être humain adore segmenter : les hommes, les femmes, les riches, les pauvres, les grands, les petits, les beaux, les moches. Il segmente aussi en lui le mental, l’énergie et le corps. Il faut retenir qu’on ne peut pas avoir un état d’esprit extraordinaire et ne pas se soucier de son corps. Le corps est le véhicule. Faites de votre corps un ami extraordinaire pour votre mental. Faites de votre mental un ami extraordinaire pour votre corps. Constituez une alliance entre votre corps, mental et énergie pour avancer.

Aujourd’hui, tu as un super état d’esprit, mais un corps qui ne suit pas la route. Forcément, il y a un moment donné où tu vas être épuisé. Ça veut dire en règle générale que tu vas subir un “burn-out”, un épuisement à coup sûr. Dans ta globalité, tu es l’état d’esprit, l’énergie et le corps. Aujourd’hui, tu as travaillé sur ton état d’esprit et tu as dépensé 15 000 euros dans le développement personnel pour travailler ton état d’esprit. C’est bien, mais maintenant il faut que tu travailles ton énergie et ton corps. L’idée est vraiment de comprendre que ça rassure les gens. Lorsque la tête a un doute sur soi, l’énergie ne circule pas forcément de la même manière. Ça commence à dysfonctionner parce que l’énergie c’est la fluidité.

Lorsque la tête n’est pas fluide, l’énergie n’est pas fluide. Quand l’énergie n’est pas fluide, elle bloque à des endroits du corps, notamment les épaules, les bras, le foie, les muscles, etc. Ça va bloquer de partout. C’est comme un système qui ne se remet pas en route. Là où l’énergie a bloqué, le symptôme apparaît. La tête ne sait jamais que l’énergie bloque à un endroit du corps, donc le corps va servir de relais, de porte-voix à l’énergie qui bloque et l’énergie qui bloque est en relation avec ce qui ne fonctionne pas dans le mental. Aujourd’hui, toutes les médecines savent ça. Même les médecins qui sont extrêmement dans la raison du corps et du symptôme savent très bien que la plupart des médicaments sont des placebos. En tout cas, on utilise le placebo pour soigner les gens. Ça veut bien dire que même eux savent que le mental a quelque chose à voir là-dedans.

Quand le mental est rassuré par le fait qu’il va être soigné, forcément l’énergie se remet en place et le corps peut être soigné. Je ne dis pas que le placebo soigne tout. Moi-même, j’utilise aussi l’allopathie pour me soigner parfois. Je suis juste en train de dire que la segmentation mentale (énergie et corps) pose un problème, mais lorsqu’on se regarde dans notre globalité, il est absolument logique que tout fonctionne en même temps. Pourquoi j’ai dit “je crée le mal dont j’ai besoin”? Selon la situation de ma vie, je vais avoir besoin de quelque chose : besoin d’amour, besoin de réconfort, besoin des autres. Je vais me mettre dans une situation de dépendance. La maladie est le reflet de la situation de dépendance dont on a besoin.

Quand on est petit, les moments où on a la fièvre sont des moments où notre maman s’occupe de nous où elle nous colle un linge frais sur la tête, où elle nous prend notre température. C’est aussi un moment où on se repose. C’est un moment où on dort. Il y a toujours une raison d’être malade et une bonne raison de créer des maladies parce qu’on devient le centre d’attention des autres. Pour moi, il n’y a aucun jugement derrière. Je trouve ça merveilleux que les gens essayent d’aller chercher des liens d’amour avec les uns et les autres. Je trouve merveilleux les gens qui essayent de créer une relation avec les autres. Je trouve que l’outil pour ça n’est pas le meilleur qui soit, mais je trouve ça merveilleux parce que ça veut dire que la personne est sensible. Ça veut dire que la personne a besoin de la relation avec l’autre. Ça veut dire qu’on a besoin d’être en harmonie avec les autres. Mais pour ça, elle va se dégrader elle-même pour obtenir l’adhésion, pour obtenir l’écoute, pour obtenir l’amour, etc. Je fais partie des gens qui sont malades. Je ne fais pas partie des gens qui ne sont jamais malades. Je suis rarement malade, mais je suis quand même malade.

C’est toujours très intéressant de me poser la question chaque fois que j’ai une maladie “pourquoi ça m’arrange?”. En fait, ce n’est pas très compliqué de savoir que ce que je suis en train de vivre, en tant que dysfonctionnement physique, dysfonctionnement énergétique et dysfonctionnement mental, c’est quelque chose qui va être régulé à un apport d’amour par une personne autour de moi ou par moi-même. C’est-à-dire que parfois, comme je cours et travaille beaucoup, je suis en train de me créer une fatigue. Je sais que c’est délicat à entendre, surtout pour les gens qui ont des maladies graves comme la maladie de lyme ou encore le cancer, “tu es pour quelque chose”.

Je n’en appelle pas à votre bonne volonté, mais juste à la logique et à l’amour. Regardez-vous à être malade et regardez-vous comme votre part d’amour et en manque de quelque chose et regardez comme on crée le mal dont on a besoin. Après, ça peut être un doigt cassé, une jambe cassée, une luxation, une courbature, un bouton quelque part, et c’est toujours très intéressant de se poser cette question. J’ai travaillé pendant cinq ans sur la métaphysique des malaises et des maladies associées aux problématiques de poids. Ce que j’ai trouvé vraiment passionnant là dedans, c’est qu’il suffit à peu près de 6 à 7 minutes de conversation avec quelqu’un pour qu’il se rende compte que l’intégralité de ce qu’il a vécu dans sa vie et qui correspond à ce qu’il appelle des maladies est un acte de nécessité. C’est nécessaire au corps, à l’esprit et à l’énergie. Il est nécessaire parfois d’être malade. Donc, regardez vos maux comme la volonté de créer quelque chose qui, par ce moyen-là, va vous apporter de l’amour.

“Je crée le mal dont j’ai besoin”, je crée le mal pour obtenir le bien. Je crée le mal en moi pour obtenir l’amour. Je vous laisse méditer là-dessus. Regardez vos vies à celle des autres. Vous ne connaissez pas les autres dans leur plus profonde intimité, donc on n’est pas capable de dire “oui, mais ma soeur est malade, ma fille est malade, mon fils a une maladie”. On n’est pas à la place des autres. Regardez pour vous et regardez comme à chaque fois, c’était quelque chose pour demander de l’amour. L’idée n’est pas de le partager ici. Ce n’est pas de faire des mea culpa. L’idée est juste de comprendre qu’à la base, tout est question de nécessité de recevoir de l’amour. Donc, quand on est malade, on crée le mal dont on a besoin.

S’il vous plaît, ne distinguez plus le mental, l’énergie et le corps. Que vous soyez en surpoids, que vous soyez malade, que vous soyez fatigué, votre corps n’est pas votre ennemi. Votre corps, c’est vous. Soyons plus ouverts que ça, soyons plus dans notre globalité (mentale, énergie et corps) et essayons de fonctionner avec l’amour. Plus on se donnera d’amour, moins on aura besoin d’aller en chercher à l’extérieur, à travers les symptômes de la maladie. Je vous aime de tout coeur et j’espère que cette vidéo aura été comprise profondément. Je vous en remercie.

Coach, auteur et conférencier international, Laurent Marchand est le créateur du mouvement #ToutEstPossible
Il accompagne tous les individus qui font le choix conscient de de devenir acteur de la vie qu’ils désirent profondément. Il les aide à révéler leur véritable puissance et à matérialiser leurs voeux les plus chers.

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Qui est Laurent Marchand

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Coach, auteur et conférencier international, Laurent est le créateur du mouvement #ToutEstPossible. Il accompagne tous les individus qui font le choix conscient de devenir acteur de la vie qu’ils désirent profondément. Il les aide à révéler leur véritable puissance et à matérialiser leurs voeux les plus chers.

“Vous avez tous un talent à partager, un projet à créer, une ambition qui vous pousse. Mais vous n’avez pas forcément le courage de vous lancer. Dans mes articles, mes vidéos et tous mes programmes, je vais vous donner TOUS les éléments pour passer à l’action et réussir.”

Laurent Marchand

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Commentaires (2)

Virginie

Bonsoir Laurent merci déjà de tout cœur pour vos vidéos qui me font patienter jusqu’à TEP en septembre ? je souffre d’une maladie génétique dégénérescence osseuse j’ai 40 ans et mes os 30 ans de plus. Et j’ai travaillé depuis au moins 5/6 ans maintenant sur mon mental car on voulait me mettre sous perd de morphine tout les samedis et je me suis dit y’a pas moyen de me gâcher la vie, et là une chose incroyable c’est passé, ma maladie a ralenti. Je fais du vélo, je vais d’ailleurs au travail avec du rafting, du kayak… j’ai repris ma vie, depuis que j’ai changé mon mental !!!

Laurent Marchand

Bonjour Virginie,
Merci de ta confiance. Nous sommes vraiment ravis de te compter parmi nous pour la prochaine session de TOUT EST POSSIBLE en septembre. Laurent nous enseignera comment réactiver l’énergie de la santé, qui est déjà en nous, durant ce programme. A très vite, l’équipe TEP

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