32/49 – Créons le monde professionnel de demain

Salut à tous ! C’est Laurent Marchand. Bienvenue dans la 32ème vidéo d’éveil. Alors là, je suis toujours sous mon cerisier au milieu des éléments qui se déchaînent encore plus, écoutée j’adore ça ok ! J’espère que vous me pardonnerez parce qu’évidemment la qualité du son ne doit pas être la même que pour les vidéos précédentes, mais je trouve que la qualité en énergie est tellement forte que voilà, j’ai envie de rester là et j’ai envie de vous proposer cette vidéo à partir d’ici. En fait, ce que je pense profondément, je vous le confie c’est que tout part de là, que tout part de l’énergie, et de l’énergie de maintenant.

Ce que je suis en train de faire aujourd’hui c’est que je suis plus en train de partager avec vous une énergie, que de partager avec vous des informations. Parce que ces informations vous aller les écouter, ou vous ne les écoutez pas, je ne sais pas ce que votre mental va en faire. Mais l’énergie que j’ai aujourd’hui, je sais que votre corps va le sentir et je sais que ça fera une grande différence, et peut-être que justement c’est cette différence en énergie, qui va vous permettre de transformer votre vie ou de trouver le moyen de le faire.

En tout cas, je suis au milieu de ces éléments qui se déchaînent, je suis sous ce cerisier absolument magnifique dans ce jardin absolument sublime et je pense que ça a un vrai lien avec le travail qu’on est en train de faire. « Tout est possible » c’est 9 mois de travail à partir de là. C’est à dire qu’on arrête de penser qu’il faut se fixer des objectifs, il faut se fixer des vies jeune banque, il faut passer à l’action, tout ça, on va les balayer du revers de la main en quelques jours et on va travailler à partir de la source, c’est-à-dire quelle est le carburant qui va vous faire vous réveiller tous les jours, pour vous dire « bordel ma vie elle est bien quoi » je suis…

Alors, vous savez moi j’ai vécu des moments difficiles, mais je me suis toujours, enfin, même dans ces moments difficiles, je me suis toujours levé en disant : « bordel, je suis en train de vivre ma vie et même si ma vie est compliquée aujourd’hui, je sais que l’énergie que j’ai est une énergie qui fera que je m’en sortirai toujours ». Et bien, c’est cette énergie qu’on travaille dans « tout est possible » et j’espère que c’est cette énergie qui passe à travers les vidéos.

Aujourd’hui, je voudrais vous suggérer une réflexion qui ne va peut-être pas vous parler d’un point de vue individuel, mais j’aimerais qu’on ait une réflexion collective sur le monde du travail de demain. Aujourd’hui, enfin cette semaine, on parle de la carrière professionnelle et on parle de la puissance de l’énergie quand on se met au service des autres. On parle aussi à titre individuel comme la vidéo d’hier sur le plafond de verre, légitimité, les loyautés, les croyances etc. Aujourd’hui je voudrais qu’on parle d’une façon plus générale, comment chacun d’entre nous peut contribuer à transformer l’énergie au travail ok ? Le petit jingle et on en parle tout de suite.

Chacun d’entre nous mes amis est une force colossale, chacun d’entre nous est une énergie incroyable. 

Les gens pensent et c’est peut-être votre cas, les gens pensent qu’en fait ils ne sont personne, ils ne sont pas grand-chose, ils ne représentent pas de… ils ne sont pas assez importants, ils ne représentent pas quelque chose de… Tout le monde se trompe, on se trompe. « Je suis un cadeau pour le monde » est une vidéo qui a cette ambition de vous faire comprendre ça. En fait il y a une vraie importance colossale de l’énergie de chaque personne, là où il est, peu importe avec qui, peu importe dans quel décor, cette énergie s’exprime. Nous avons historiquement réussi à bouleverser des dictatures a empêché des politiques lugubres mortifère de s’installer et de prendre le pouvoir.

Nous sommes des révolutionnaires, nous sommes des guerriers, nous sommes des résistants, parce qu’en chacun de nous, vit un espoir. Petit à petit, je vois que les gens laissent s’installer des notions totalement absurdes et notamment des notions absurdes sur la question du travail. Et ils pensent qu’ils n’ont pas leur mot à dire. Oui aujourd’hui on travaille comme ci, oui aujourd’hui on travaille comma ça. En fait, aujourd’hui on travaille exactement comme nous avons envie qu’on travaille aujourd’hui.  Et cette réflexion que j’aimerais qu’on ait à une échelle beaucoup plus large que nous, c’est une réflexion qu’on peut avoir dans un groupe comme « tout est possible ».

Qu’est-ce que chacun d’entre nous va transformer, non pas dans son travail, mais dans le travail ?

Il y a beaucoup de gens qui me sorte » oui travail ça vient d’un mot latin qui veut dire torture », en fait on s’en contre fout. Le travail portera toujours l’énergie de ce que vous avez envie de lui donner.

Ne travaillez plus, saisissez les opportunités, casser votre plafond de verre.

C’est vraiment ce qu’on travaille depuis le début. Mais là, l’envisager à une échelle beaucoup plus grande que nous. Comment pouvez-vous contribuer à changer les règles ou le concept même du travail à une échelle nationale et mondiale depuis votre place ? Dès lors qu’on commence à réfléchir comme ça, tout se transforme. Peut-être pas encore à l’échelle nationale, peut-être pas encore à l’échelle mondiale, mais tout se transforme. C’est comme si vous connectiez au niveau de l’énergie général, ou global, une nouvelle donnée qui dit « à partir d’aujourd’hui, je ne me conformerai plus à ça. ».

Ça veut dire que lorsque vous allez entendre des gens qui vous dit, pour vous dire « le travail c’est difficile », vous allez leur dire « la façon dont tu vois le travail est difficile ». Mais moi par exemple, je trouve le travail absolument gratifiant, énergisant, enrichissant, encourageant, je me développe avec le travail, je grandis avec le travail, je me découvre avec le travail, j’ai peur avec le travail, je frémis avec le travail, je teste avec le travail, je m’amuse avec le travail, mais c’est tout sauf difficile. Alors parfois il y a des choses chiants, parfois il y a des moments dans mon job où je dois faire des tâches, qui ne sont pas des tâches les plus intéressantes du monde. Mais même ces tâches-là, elles me permettent de comprendre que je suis capable de les faire, ou que je sais déléguer, ou que voilà, je sais aussi faire ça.

En développant cette idée-là, du travail qui peut être aussi une source magnifique de bonheur dans notre vie, on va transformer petit à petit à l’échelle de nos proches, on va transformer des croyances. Pour une fois, j’ai dans mon salon, j’ai une amie qui m’a dit « ce n’est pas normal de travailler autant » et j’ai dit en fait c’est ce que je crois c’est que ce n’est pas normal de travailler si peu, ou ce n’est pas normal de vouloir travailler si peu.

Quand je travaille dans des ateliers de réussite professionnelle, je leur dis, je dis aux gens : imaginez que vous gagnez 50 millions d’euros, imaginez ça. Donc tout le monde se met en méditation et tout le monde pense à 50 millions d’euros par chèque ou en espèces peu importe, la voie par laquelle ils veulent bien se l’autoriser, ils posent cet argent sur leur compte et ils ont voilà, ils regardent sur leur compte en ligne et ils voient le montant 50 millions 396 euros, 50 millions d’euros. Pensez à votre vie, pensez à votre…

Qu’est-ce que vous allez faire ? Donc je leur demande d’écrire ce qu’ils vont faire avec ces 50 millions d’euros ? quasiment 99 % disent je vais m’acheter une île, je vais respirer, je voyage… et après je leur dis ok ! ça fait six mois que vous avez ces 50 millions d’euros, vous avez fait tout ce que vous avez marqué sur vos premières lignes. Souvent des voyages, vous êtes allés visiter des trucs, vous avez acheté une île, vous avez acheté une baraque au soleil, vous avez acheté une place privée, ou un yacht, ou un bateau, vous êtes partis faire le tour du monde. Ok !

Six mois se sont écoulés, qu’est-ce que vous allez faire ? Et là, la réflexion commence à devenir intéressante, parce qu’il y a peut-être une idée derrière ça qu’on ne va pas passer notre vie à rien foutre et que peut-être avec ces 50 millions on peut contribuer à quelque chose. Alors là, d’un seul coup ils se disent « peut-être que je pourrai investir dans un truc, peut être que je pourrais monter une fondation, aider les enfants dans la scolarisation, peut être que… », d’accord, mais là vous n’êtes plus en vacances mes amis, vous êtes en train de contribuer, vous êtes en train de travailler.

Alors ce n’est pas un travail pour gagner de l’argent, puisque l’argent vous l’avez, mais c’est un travail quand même. Et bien, c’est cette notion-là du travail que je vais, je vous invite à apercevoir au fond de vous et à valoriser dans votre discours qui n’est pas le travail du labeur, le travail de la difficulté, qui n’est pas le travail de je dois pour, je dois faire pour obtenir, je dois faire pour gagner de l’argent, mais qui est une autre notion beaucoup plus élevé de votre contribution au monde par rapport à vos actions.

Comment là, où vous êtes aujourd’hui, vous allez pouvoir développer une idée d’un travail autrement et d’un monde du travail autrement ? 

Je n’ai rien qu’en réfléchissant à ça, j’ai ouvert parfois des perspectives dans les têtes de managers qui étaient censé me diriger en leur disant « moi mon travail je le vois comme ça, comme une contribution. Moi aujourd’hui je me mets au service d’une équipe et je pense que travailler aujourd’hui c’est contribuer à rendre un monde, le monde plus intelligent, plus grands, meilleurs. Alors peut-être que je suis à la bonne place ou peut être que je ne suis pas à la bonne place, je m’en fous, en tout cas je contribue à ça » et j’ai vu s’allumer des petites lueurs dans les yeux de mes propres managers ou de mes propres patrons, qui se disaient « tient c’est effectivement intéressant comme ça » mais parce que je parlais pas de mon travail, je parlais du travail.

Et parfois j’ai croisé des entrepreneurs, qui ont des réussites extraordinaires, mais vraiment des grandes réussites. Des gens qui ont gagné des millions et des millions avec leur société, qui se sont éclatés tout le temps où ils l’avaient, qui se sont éclatés à la transmission, ou à la revente, ils se sont éclatés tout le long. Et quand on les interroge sur la raison, comment tu as pu t’éclater autant d’années en montant un empire comme celui-là, à la fois ils parlent de leur propre énergie, mais il parle aussi de leur vision du travail en général.

Je n’ai jamais  considéré que le travail était une galère. Moi c’est bizarre mais tout le monde pense que le travail c’est une torture alors que moi j’ai toujours pensé que c’était le meilleur moyen de me connaître, ou de m’élever, ou d’être dépassé, aller au-delà de mes limites, d’être dépassé par les situations et de me dire « il va falloir que j’apprenne des choses, il va falloir que j’aille chercher des informations. ».

Si je veux m’en sortir dans cette situation-là, j’étais parfois écrasé, j’étais parfois menacés, parfois j’ai eu peur, mais ça a été toujours un moyen de me connaître et toujours un moyen d’arriver à me comprendre mieux, à savoir ce que j’étais capable. Mais je n’ai jamais souffert du travail.

Là il y a des grandes réussites, il y a vraiment des grandes réussites. Des entrepreneurs qui parle de la souffrance au travail sont des entrepreneurs qui ne réussiront jamais, parce que rien que d’envisager une activité qui va trois fois plus haut, quatre fois plus haut, en termes de dépense d’énergie de construction, de fabrication de produits, ou de prestation de service. Trois fois, quatre fois plus, cinq fois plus, et bien d’un seul coup, ça va chercher une énergie qu’ils n’ont pas. C’est déjà difficile à ce niveau-là, alors comment ça va être à ce niveau-là et comment ça va être à ce niveau-là et comment ça va être au niveau qu’on espère être d’une grande prospérité ? On va mourir.

Donc du coup, on ne donne pas l’énergie qu’il faut. Mais ce n’est pas un problème personnel, c’est un problème de croyances sur le travail en général. Remettez en question ça. Il y a un discours porteur ouvert et il y a un discours de joie autour de ça. Et aider les gens à comprendre qu’il y a de la joie partout même là-dedans. Et c’est notre petit niveau, là c’est, pour le coup c’est vraiment la petite goutte qu’on va apporter chacun à notre niveau pour éteindre la grande fournaise, le grand brasier. Mais on va contribuer à notre niveau a transformé un tout petit peu et puis les autres qui vont comprendre votre discours, ils vont contribuer à transformer un tout petit peu et puis etc. ça va devenir exponentielle, parce qu’on participera à une promotion du travail et de l’environnement professionnel, beaucoup plus légère et beaucoup plus ample. Et justement c’est parce que ce sera léger et plus ample, que l’organisation elle-même va se transformer d’une manière radicale.

On y arrive petit à petit et aujourd’hui ce qui apporte ça, sont les jeunes de la génération « Y », parce qu’ils voient le travail différemment de nos aïeux, de nos parents, ou de nos grands-parents qui ont en chier, faut le dire soyons clairs. Mais ces générations « Y » continuent à ça donc, et donc ces générations « Y » a transformé l’idée du travail, en en faisant une promotion plus haut en énergie, plus grande, plus vaste. Pour un monde qui va participer collectivement à quelque chose de grand et de meilleur, plutôt qu’un monde qui va participer au labeur collectif pour vendre des produits ou proposer des services. Stop !  Cessons cette énergie mortifère dans le travail et vive l’énergie plus légère ok ! On se retrouve demain pour une autre vidéo, déjà cela a été long, la deuxième sera beaucoup plus courte, je vous le promets. C’était Laurent Marchand. À demain, Tchao !